Les posters développés en collaboration avec St Molotov utilisent son système iconographique brut, mystico-primitif, proche des codes de l’art roman et du tarot.
Depuis 1989, Saint Molotov est un activiste subculturel. Il publie ses images de 1991 à 1997 dans les fanzines Trojan et Boot Party de Chicago.
En 1999, ermite en montagne, il touche à l’abstraction à travers l'agglomération d’objets de récupération donnant naissance à des sculptures et des bas-reliefs. Petit à petit, il y insère une forme figurative, narrative et symbolique de personnages faits de rebuts de ferraille.
Depuis 2005, il est représenté par la galerie Christelle Pernet. En 2007, sous la direction d’Antoine Rigal, il commence à peindre et crée le personnage de Saint Molotov. St Molotov découvre l’occultisme et l’art religieux puis expose à la biennale de Lyon. Son travail est une introspection magique. Leon Lam, lors d’un voyage à Hong-Kong, le motive à réaliser des motifs de tatouages mystiques.
En 2016, son nomadisme l’éloigne de la peinture et il commence à réaliser des Panos. Suit une grande exposition à Poitiers et depuis, il ne cesse d’exposer :